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Sur cette page nos Grannies et les familles racontent sur leurs expériences personnelles avec Granny Aupair.
« Peu avant la retraite en 2011, j’ai lu un article sur Granny Aupair dans un journal. J’ai tout de suite posé ma candidature et trouvé ma première famille d’accueil. »
« J’habite une chambre d’hôte. Douche et WC sont dans le jardin. Tout est très propre. Dès la première semaine, je suis allée à l’école. Je travaille de 9 à 13 h. Les enfants ont entre 3 et 7 ans et ils viennent d’un milieu très défavorisé. Mais j’ai un plaisir fou et les enfants sont reconnaissants du changement que j’apporte. »
« J’habite une chambre d’hôte. Douche et WC sont dans le jardin. Tout est très propre. Dès la première semaine, je suis allée à l’école. Je travaille de 9 à 13 h. Les enfants ont entre 3 et 7 ans et ils viennent d’un milieu très défavorisé. Mais j’ai un plaisir fou et les enfants sont reconnaissants du changement que j’apporte. »
« Je suis arrivée dans mon « entreprise » sans idée préconçue. Le courant a passé tout de suite avec la mère et la confiance s’est vite installée avec son plus jeune fils de sept ans. Pour être Granny, il faut être flexible et savoir se mettre en retrait. Le dernier jour, la famille m’a dit : « Dommage que tu repartes déjà ! » Je ne pouvais pas rêver plus belle reconnaissance. »
« Je suis arrivée dans mon « entreprise » sans idée préconçue. Le courant a passé tout de suite avec la mère et la confiance s’est vite installée avec son plus jeune fils de sept ans. Pour être Granny, il faut être flexible et savoir se mettre en retrait. Le dernier jour, la famille m’a dit : « Dommage que tu repartes déjà ! » Je ne pouvais pas rêver plus belle reconnaissance. »
« Je vais très bien, en Chine. Bientôt, je vais devoir retrouver ma vie d’avant, je suis mi-figue, mi-raisin. Quitter les enfants, surtout, me rend triste. Je me suis très bien sentie, ici. »
« Je vais très bien, en Chine. Bientôt, je vais devoir retrouver ma vie d’avant, je suis mi-figue, mi-raisin. Quitter les enfants, surtout, me rend triste. Je me suis très bien sentie, ici. »
« Au début, je n’allais pas très bien. J’avais le mal du pays. Mais je savais que ça passerait et au bout d’une petite semaine, j’ai eu le sentiment d’être vraiment arrivée. J’habite ici une chambre très modeste avec salle de bain. Comme presque partout, la douche ne fonctionne pas et on se lave au robinet. La chasse d’eau ne marche pas bien non plus. Au début, ça me gênait, mais je m’y suis fait. »
« Au début, je n’allais pas très bien. J’avais le mal du pays. Mais je savais que ça passerait et au bout d’une petite semaine, j’ai eu le sentiment d’être vraiment arrivée. J’habite ici une chambre très modeste avec salle de bain. Comme presque partout, la douche ne fonctionne pas et on se lave au robinet. La chasse d’eau ne marche pas bien non plus. Au début, ça me gênait, mais je m’y suis fait. »
« Je vais très bien en Namibie. La famille s’occupe très bien de moi et j’ai déjà pu voir des choses merveilleuses. Les animaux exotiques, surtout, m’ont laissé un souvenir inoubliable. Je ne l'oublierai jamais. »
« Je vais très bien en Namibie. La famille s’occupe très bien de moi et j’ai déjà pu voir des choses merveilleuses. Les animaux exotiques, surtout, m’ont laissé un souvenir inoubliable. Je ne l'oublierai jamais. »
« J’ai vécu là-bas le paradis sur terre. Tout était parfait et j’ai pu mettre en oeuvre ce que mon métier m’avait appris par le passé. Le plus beau, c’est que j’ai trouvé au Cap l’amour de ma vie. Ça a été la cerise sur le gâteau. »
« J’ai vécu là-bas le paradis sur terre. Tout était parfait et j’ai pu mettre en oeuvre ce que mon métier m’avait appris par le passé. Le plus beau, c’est que j’ai trouvé au Cap l’amour de ma vie. Ça a été la cerise sur le gâteau. »
« Mon séjour à Saïgon a été magnifique. Les enfants m’ont entièrement conquise. Je pense encore tous les jours à ces petits courageux et gais. »
« Mon séjour à Saïgon a été magnifique. Les enfants m’ont entièrement conquise. Je pense encore tous les jours à ces petits courageux et gais. »
« J’ai derrière moi des mois de belles sensations et de gaieté en République Dominicaine. J’y travaillais et vivais dans un foyer pour enfants rempli de garçons de 9 à 17 ans. J’ai profité de chaque minute passée avec « mes » gars, qui m’ont transmis leur joie de vivre et leur amitié, en dépit des rudes conditions de vie qui étaient les leurs. »
« J’ai derrière moi des mois de belles sensations et de gaieté en République Dominicaine. J’y travaillais et vivais dans un foyer pour enfants rempli de garçons de 9 à 17 ans. J’ai profité de chaque minute passée avec « mes » gars, qui m’ont transmis leur joie de vivre et leur amitié, en dépit des rudes conditions de vie qui étaient les leurs. »
« De septembre à Novembre, l’an dernier. J’ai eu beaucoup de mal à me décider. J’avais la frousse. Aujourd’hui, je suis très contente d’avoir tenté le coup ! »
« De septembre à Novembre, l’an dernier. J’ai eu beaucoup de mal à me décider. J’avais la frousse. Aujourd’hui, je suis très contente d’avoir tenté le coup ! »
